HISTOIRE COURTE LE TRAIN
Traduction automatique de l’histoire originale en espagnol. Non vérifié manuellement
Le train ne s’est pas arrêté à la gare où Marta voulait descendre…
Il a continué sans s’arrêter… le conducteur lui a dit qu’il s’était trompé de train, qu’il ne s’arrêtait pas là.
Il ne pouvait donc rien faire d’autre que continuer…
La gare où il est descendu s’appelait « Novelle Opportunité ».
Marta n’avait qu’une seule valise, mais elle l’a laissée dans le train. Il s’en est sorti sans rien…
En traversant la gare, elle pensa à son amie… celle qui avait vendu la chose la plus chère à sa mère, que Marta lui avait donnée à sa mort… Elle pensa aussi à l’amie de son partenaire -son amie aussi- qui avait leur ai dit tant de fois que je les aimais… Tout un mensonge.
Marta prend une profonde inspiration et pense à Isaac et à sa chienne Daphné. Il prend son portable et les appelle…
« Isaac ? »
—Oui Marta, dis-moi ?
—Prends Dafne et viens à l’endroit que je t’ai envoyé sur Maps…
—….
« Isaac ? »
— Oui… Je pense nous emmener.
-Rien. Nous n’avons besoin de rien.
-Je t’aime.
-Et moi à toi.
Marta arrive dans un pré et respire l’odeur des roses. Maintenant tout est propre.
L’avantage de perdre des cactus est que les roses poussent partout à leur place. Cette histoire est dédiée, avec affection -autant que celle qu’ils nous ont donnée- à ceux qui, pendant des années, ont prétendu être nos amis.
Le Train – Série de micro histoires – Copyright © Montserrat Valls et Juan Genovés